Pour un regard
Le con
s’attache aux boulets de la peine
Il se gave et
se nourrit des fruits de la haine
Tout en
développant les racines de l’indifférence
Et il reste
seul accroupi dans le refuge sombre de ses peurs
Ne sachant à
qui faire réellement confiance
Il ne fait plus
la distinction entre violence et douceur
Aveuglé, il
développe les racines de l’indifférence
Figé dans ses
propos brutaux qui poussent à la souffrance
N’oublie
jamais, regarde toujours du bon côté
La culture et
le savoir sont une chance.
Hassen