C’est toujours la même histoire
Ces politiques de
vautours
Nous tournent tout
autour.
Ce sont les
champions des aveugles et des sourds,
Comme des fous ils
courent toujours,
S’efforçant d’être
les vainqueurs du tour
Ils ne prennent pas
la peine de regarder autour.
Comme des fous ils
pédalent toujours
Ils ne savent pas
s’arrêter.
C’est reparti pour
la misère d’un tour.
Idolâtres de la
richesse des sourds
Vous êtes condamnés
pour toujours
A moins qu’il n’y
ait un beau jour
Quelqu’un qui
puisse répondre à nos appels au secours
Il faut vivre et mourir
avec amour
Comme à la
naissance du premier jour
C’est reparti pour
une révolution de velours
Hassen