Le verre est vide ou est-il plein ?
On
nous a collé à la peau la pauvreté
seul
sur toi tu peux compter pour y échapper
prends
conscience de ta liberté
le
monde a toujours changé
il
a besoin de toi pour avancer
que
tu le désires ou non, c’est obligé
seuls
sur nous-mêmes on peut compter
il
n’est plus temps de se mettre au vert
quand
notre monde penche de travers
suite
à des catastrophes passagères
que
l’on oublie sur l’étagère
et
aujourd’hui comme hier
les
politiques sont éphémères
tout
change de caractère
même
la nature des affaires
la
nature de notre terre
de
nous fleuves et de nos rivières
ils
ont toujours joué avec les aspirations populaires
nous
mettant en joue par des idéologues milliardaires
profitant
de l’exploitation de la chair
ou
par certains hommes d’affaires
travaillant
au service du désordre monétaire
l’argent
appelle la guerre
et
vient faire sauter nos nerfs
ils
sont malades de la luxure de l’éphémère
pour
cela ils seraient prêts à tuer père et mère
jusqu’à
enterrer tout notre univers
dans
la violence meurtrière
cela
commence par l’austérité
pour
finir dans les tranchées
ils
nous offrent la vision de la brutalité
pour
finir dans l’adversité de l’obscurité
le
temps n’est plus aux vers
ni
d’attendre de voir ce qu’ils vont faire
c’est
l’heure d’une révolution planétaire
contre
ces Etats tortionnaires
nous
ne sommes pas leurs compères
ne
restons pas complices de ces industries de galère
ce
monde n’est pas fait pour se taire
il
n’y a qu’une chose que l’on puisse faire
reprendre
la politique révolutionnaire
je
ne travaille pas pour l’argent
mais
je lutte avec force pour le Bien des gens
ni
je me contrains, ni je me perds
il
faut du savoir pour plaire
Hassen