Le
pacte
Certains
hommes ne travaillent pas
Ils ne bougent même pas le petit doigt
Pourtant ces
hommes rêvent d’or et de fortune
Qu’ils amassent au creux de la lune
Ils nous font croire que nous pouvons en avoir
autant
Mais, en réalité, ils ne nous offrent que du vent
Nous sommes victimes de la politique du dormant
Ils nous gardent au fond du trou
Pour rester dans le grand flou
Les loups son très peu dans la nature
Mais en nombre au sommet de l’Etat
Ils s’en prennent toujours aux malades
Aux faibles, femmes et enfants
Ils développent un monde de brutes
En cristallisant toutes nos défenses
Par des discours bordés par la romance
Qui cachent les tableaux de la violence
Les poètes ne sont pas là pour faire la chouette
Sinon ils deviennent des tapettes
Les gouvernements son calés sur les canaux de
l’indifférence
Ils sont suspendus à ces guerres qui ne laissent
aucune chance
Pour eux seul compte le chemin de la fortune qui
s’appuie sur la souffrance
De répandre la mort ils s’en balancent
Comme de l’an quarante
Seuls comptent l’or et la richesse et leur confort
dans l’abondance
Hassen