General
Electric
STOP au
massacre
de notre
industrie énergétique
et du
savoir-faire de ses travailleurs
1999. Sous le patronage de Macron, déjà, General Electric
rachète tout un secteur d’Alstom contre la promesse mensongère de création de
1 000 emplois sur le site de Belfort.
Déjà,
c’était livrer, aux actionnaires de GE, le savoir-faire des ouvriers,
techniciens et ingénieurs dans la construction de turbines à gaz pour centrales
électriques.
2019. Les emplettes faites, après avoir attendu la fin des élections
européennes, en accord avec Macron complice, la multinationale américaine
annonce :
-
sa
délocalisation aux USA, en Hongrie…
-
1 044 suppressions d’emplois,
dont 792 à Belfort et Bourogne, 252 au siège de Boulogne-Billancourt. Avec les
sous-traitants, c’est un total de 3 000 emplois directs et indirects qui
risquent de disparaître.
C’est le déclin assuré de Belfort et de sa région !
Avec
Macron, c’est la désindustrialisation programmée.
Après
l’aciérie d’Ascoval dans le Nord, la liquidation de Whirlpool à Amiens, la
fermeture de Ford Blanquefort en Gironde et la papèterie Arjowiggins dans la Sarthe
Faut-il
encore croire aux promesses
« d’accompagnement personnalisé », ces déclassements-reclassements
qui conduisent à la précarité, au chômage ?
Faut-il
croire les Macroniens et les barons
locaux, ces politiciens qui, pour se faire réélire, jurent que des pistes
(aléatoires) de reconversion, de diversification du site sont à l’étude ?
Subir, se
résigner ou résister et lutter ?
Il faut choisir.
La dignité ne
s’achète pas.
Les Gilets
Jaunes sont solidaires
de toutes celles et tous ceux qui redressent
la tête.
Il faut imposer
la nationalisation de GE
sous contrôle ouvrier et populaire
Il n’y a pas
d’autre voie pour sauver le site industriel.
Le lion de
Belfort doit rugir,
et toute la
population se mobiliser pour ne pas subir le déclin.
Les Gilets Jaunes de Lure et environs, le 7 juin 2019
Journal
FB : INFO gilets jaunes de Lure 70
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