Rouges de colère car les classes populaires ne doivent pas payer la crise du capitalisme.



Verts de rage contre le productivisme qui détruit l’Homme et la planète.



Noirs d’espoir pour une société de justice sociale et d’égalité


mardi 12 décembre 2023

 

Alerte contre un projet de loi liberticide

 

Nous sommes à un tournant critique. Le projet de loi déposé ce 15 novembre au Sénat par le ministre de l’intérieur Darmanin est gravissime. En effet, sous prétexte de « lutter contre les dérives sectaires », l’art. 4 de ce projet permettrait de punir d’un an d’emprisonnement et de 15 000€ d’amende toute personne qui dénoncerait les graves effets indésirables des médicaments et des vaccins. Je rappelle que la fonction première de cet article était d’apporter une réponse aux charlatans prônant les remèdes miracles. Or, en l’état, c’est une censure pure et simple de la liberté d’expression de tout le corps médical et scientifique !

 

Rendez-vous compte de ce que cela veut dire ?

 

« Un médecin ou un scientifique qui dénoncerait le Médiator ou le VIOXX comme responsables de dizaines de milliers de morts dans le monde, serait puni d’un an d’emprisonnement !

Des directeurs de recherches comme les professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne qui vanteraient les effets de l’hydroxychloroquine contre le virus du Cvoid-19, risqueraient 2 ans de prison et 30 000 € d’amende avec une telle loi !

Un lanceur d’alerte prévenant des graves effets indésirables du Gardasil - allant jusqu’au décès des patients – alors qu’il  n’y a aucune preuve solide qu’il évite le cancer… tomberait lui aussi sous le coup de l’article 4 !

Une association comme 60 millions de consommateurs qui mettrait en garde les Français contre des médicaments en vente libre tels qu’Actifed, Maxilase, Spasfon, Strepsils, Lysocpaïne ou Oscillococcinum, en les signalant comme potentiellement inefficaces ou dangereux et responsables de graves effets secondaires, comme des hémorragies gastro-intestinales, pourrait alors écoper de 15 000 € d’amende !

Une maison d’édition indépendante comme la revue Prescrire qui publierait la liste des 107 médicaments autorisés mais plus dangereux qu’utiles, tomberait elle aussi sous le coup de cet article 4 ! Et hop, en prison pour un an et 15 000 € d’amende !

 

En fait, les contours de l’article sont si flous que derrière la « provocation à s’abstenir de suivre un traitement médical », vous pouvez mettre beaucoup de choses ! Ainsi le gouvernement entend confondre lanceurs d’alertes, controverses scientifiques et dérives sectaires. C’est une honte pour la Franc e !

 

En réalité, grâce à ce texte, les autorités sanitaires et les laboratoires pharmaceutiques sont en train de parvenir à leur sinistre objectif : museler toute contestation comme celle connue pendant la pandémie. C’est un retour à l’Inquisition : Irène Frachon, Luis Fouché, Didier Raoult, Christian Perronne… seraient incapables de vous alerter sur les mensonges éhontés des labos pharmaceutiques et auraient été jetés en prison pour au moins un an. C’est une formidable occasion pour Big Pharma de lancer une attaque massive et globale contre toutes les médecines alternatives et l’information libre et indépendante. Le tout sans qu’aucun débat ne puisse avoir lieu ! Car tout avis dissident tomberait sous le coup de cet article 4 ! Sans contestations, l’hydroxychloroquine, le médiator, le vioxx, le Gardasil, les médicaments et autres produits pharmaceutiques dangereux serraient toujours sur le marché ». Guillaume Chopin.

 

L’article 4 ne doit pas passer. Mobilisons-nous pour la défense de nos droits, de notre santé et de notre liberté de choix ! Nous devons faire pression pour réclamer l’abolition de cet article avant le 19 décembre prochain, date à laquelle il sera proposé en séance publique à l’Assemblée Nationale.

Signons la pétition lancée par Guillaume Chopin et l’association Santé Naturelle

https://www.abolition-article-4.com/signature

 

Marie-Aimée Baron (une abonnée)

 

 Article 4 « Est punie d’un an….la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte-tenu de la pathologie dont elle son atteintes, des conséquences graves sur leur santé physique ou psychique.