Alerte contre
un projet de loi liberticide
Nous
sommes à un tournant critique. Le projet de loi déposé ce 15 novembre au Sénat
par le ministre de l’intérieur Darmanin est gravissime. En effet, sous prétexte
de « lutter contre les dérives sectaires », l’art. 4 de ce
projet permettrait de punir d’un an d’emprisonnement et de 15 000€
d’amende toute personne qui dénoncerait les graves effets indésirables des
médicaments et des vaccins. Je rappelle que la fonction première de cet article
était d’apporter une réponse aux charlatans prônant les remèdes miracles. Or,
en l’état, c’est une censure pure et simple de la liberté d’expression de tout
le corps médical et scientifique !
Rendez-vous
compte de ce que cela veut dire ?
« Un médecin ou un scientifique qui
dénoncerait le Médiator ou le VIOXX comme responsables de dizaines de milliers
de morts dans le monde, serait puni d’un an d’emprisonnement !
Des directeurs de recherches comme les
professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne qui vanteraient les effets de
l’hydroxychloroquine contre le virus du Cvoid-19, risqueraient 2 ans de prison
et 30 000 € d’amende avec une telle loi !
Un lanceur d’alerte prévenant des graves
effets indésirables du Gardasil - allant jusqu’au décès des patients – alors
qu’il n’y a aucune preuve solide qu’il
évite le cancer… tomberait lui aussi sous le coup de l’article 4 !
Une association comme 60 millions de
consommateurs qui mettrait en garde les Français contre des médicaments en
vente libre tels qu’Actifed, Maxilase, Spasfon, Strepsils, Lysocpaïne ou
Oscillococcinum, en les signalant comme potentiellement inefficaces ou
dangereux et responsables de graves effets secondaires, comme des hémorragies
gastro-intestinales, pourrait alors écoper de 15 000 € d’amende !
Une maison d’édition indépendante comme
la revue Prescrire qui publierait la liste des 107 médicaments autorisés mais
plus dangereux qu’utiles, tomberait elle aussi sous le coup de cet article
4 ! Et hop, en prison pour un an et 15 000 € d’amende !
En fait, les contours de l’article sont
si flous que derrière la « provocation à s’abstenir de suivre un
traitement médical », vous pouvez mettre beaucoup de choses ! Ainsi
le gouvernement entend confondre lanceurs d’alertes, controverses scientifiques
et dérives sectaires. C’est une honte pour la Franc e !
En réalité, grâce à ce texte, les
autorités sanitaires et les laboratoires pharmaceutiques sont en train de
parvenir à leur sinistre objectif : museler toute contestation comme celle
connue pendant la pandémie. C’est un retour à l’Inquisition : Irène
Frachon, Luis Fouché, Didier Raoult, Christian Perronne… seraient incapables de
vous alerter sur les mensonges éhontés des labos pharmaceutiques et auraient
été jetés en prison pour au moins un an. C’est une formidable occasion pour Big
Pharma de lancer une attaque massive et globale contre toutes les médecines
alternatives et l’information libre et indépendante. Le tout sans qu’aucun
débat ne puisse avoir lieu ! Car tout avis dissident tomberait sous le
coup de cet article 4 ! Sans contestations, l’hydroxychloroquine, le
médiator, le vioxx, le Gardasil, les médicaments et autres produits
pharmaceutiques dangereux serraient toujours sur le marché ». Guillaume Chopin.
L’article
4 ne doit pas passer. Mobilisons-nous pour la défense de nos droits, de notre
santé et de notre liberté de choix ! Nous devons faire pression pour
réclamer l’abolition de cet article avant le 19 décembre prochain, date à
laquelle il sera proposé en séance publique à l’Assemblée Nationale.
Signons
la pétition lancée par Guillaume Chopin et l’association Santé Naturelle
https://www.abolition-article-4.com/signature
Marie-Aimée
Baron (une abonnée)
Article 4 « Est punie d’un an….la
provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical
thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est
présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en
l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour
elles, compte-tenu de la pathologie dont elle son atteintes, des conséquences
graves sur leur santé physique ou psychique.