Rouges de colère car les classes populaires ne doivent pas payer la crise du capitalisme.



Verts de rage contre le productivisme qui détruit l’Homme et la planète.



Noirs d’espoir pour une société de justice sociale et d’égalité


jeudi 6 décembre 2012


A lire
Une descente aux enfers
Harcèlement moral au travail.
Après l’esclavage dans l’Antiquité, le servage sous l’Ancien Régime, l’exploitation ouvrière à l’ère industrielle, les mauvaises conditions de travail en fin de siècle dernier, on parle enfin de harcèlement. Les salariés subissent les restructurations, les licenciements, les surcharges de travail, la précarité de l’emploi, le management par le stress, ce qui favorise une nouvelle organisation du travail propice aux conflits et aux agressions.
Ce récit est un témoignage.
J’ai vécu l’ostracisme et le harcèlement moral en tant que salariée dans une petite entreprise, sur une durée de cinq ans. Par la suite, j’ai pu rebondir grâce à ma pugnacité.
Histoire vécue. Auteur : Aleth Malher
Pour commander :  aleth.malher@laposte.net
2012 – prix 10 €




JUSTICE  POUR  AYOUB

Le 7 février 2011, à Audincourt, Ayoub alors âgé de 18 ans, a été victime d’un tir de flash ball de la police. Il a perdu un œil et se trouve handicapé à vie. Victime innocente, il attendait une correspondance sous un abribus à proximité duquel avait lieu une échauffourée à laquelle il
est avéré qu’il ne participait pas.

22 mois exactement après les faits, l’auteur du tir n’est toujours pas inquiété !

La justice a laissé les services internes de la police diligenter une enquête qui a pris un an avant que la procureure n’ouvre le 30 janvier 2012  une information judiciaire pour « blessure involontaire » à l’encontre du tireur. La juge d’instruction  chargée des investigations indiquera à la famille qu’elle entendait faire vite… sauf que celle-ci a quitté le tribunal de Montbéliard et qu’un nouveau juge d’instruction a repris le dossier à l’automne 2012, refusant de recevoir le comité de soutien à Ayoub inquiet des lenteurs de la justice.
La famille craint que, suite au rapport de la juge d’instruction, la requête de la procureure soit un non lieu comme elle l’a requis récemment dans l’affaire Boukrourou où, pourtant,  il y a eu mort d’homme.
Dans une démocratie, il est essentiel que chacun soit à même de répondre de ses actes à hauteur du préjudice causé ;  la police n’échappe pas à ce principe. C’est pourquoi le comité de soutien à Ayoub appelle la population à  participer à  une :
GRANDE SOIREE DE SOUTIENVENDREDI 7 DECEMBRE à 18h
Salle N°3,   Sous-sol du Centre des Hexagones -  Petite-Hollande
 MONTBELIARD


Comité de soutien à Ayoub.   Contact : 09-71-45-93-06
Les Amis de l’émancipation Sociale


Les Amis de l’Emancipation sociale,
les Amis du Monde Diplomatique Nord Franche-Com
vous proposent de découvrir le film
Le capital
de Costa Gavras 
 adapté du roman de Stéphane Osmont

au Cinéma Méliès à LURE   
   Samedi 15 décembre 2012  à 20h30 (tarifs habituels)
Le film sera diffusé également le mercredi 12 et le lundi 17 décembre à 20h30

La résistible ascension d’un valent de banque dans le monde féroce du Capital. « Costa-Gavras, cinéaste engagé, dénonce le pouvoir de l’argent, la mainmise des banques, le rouleau compresseur de la finance. A travers les aventures d’un golden boy (Gad Elmaleh), manipulé puis manipulateur, il démonte les mécanismes de l’empire de l’argent. Engagé comme pantin à la tête d’une institution bancaire, notre homme va apprendre la ruse, le cynisme, l’amoralité.>… »